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  Rubrique MEDITERRANEE

Le gouvernement Fillon II

-  Jean-Louis Borloo : ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables
-  Michèle Alliot-Marie : ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales
-  Bernard Kouchner : ministre des Affaires étrangères et européennes
-  Christine Lagarde : ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi
-  Brice Hortefeux : ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Codéveloppement
-  Rachida Dati : garde des Sceaux, ministre de la Justice
-  Michel Barnier : ministre de l’Agriculture et de la Pêche
-  Xavier Bertrand : ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité
-  Xavier Darcos : ministre de l’Education nationale
-  Valérie Pécresse : ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
-  Hervé Morin : ministre de la Défense
-  Roselyne Bachelot-Narquin : ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports
-  Christine Boutin : ministre du Logement et de la Ville
-  Christine Albanel : ministre de la Culture et de la Communication
-  Eric Woerth : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique

-  Roger Karoutchi : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement
-  Jean-Pierre Jouyet : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes
-  Laurent Wauquiez : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, porte-parole du Gouvernement
-  Eric Besson : secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Prospective et de l’Evaluation des politiques publiques
-  Valérie Létard : secrétaire d’Etat auprès du ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, chargée de la Solidarité
-  Dominique Bussereau : secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, chargé des Transports
-  Nathalie Kosciusko-Morizet : secrétaire d’Etat auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, chargée de l’Ecologie
-  Christian Estrosi : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales, chargé de l’Outre-Mer
-  André Santini : secrétaire d’Etat auprès du ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, chargé de la Fonction publique
-  Jean-Marie Bockel : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé de la Coopération et de la Francophonie
-  Hervé Novelli : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi, chargé des Entreprises et du Commerce extérieur
-  Fadela Amara : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Ville et du Logement, chargée de la Politique de la ville
-  Alain Marleix : secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé des Anciens Combattants
-  Rama Yade : secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’homme
-  Luc Chatel : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Economie, des Finances et de l’Emploi, chargé de la Consommation et du Tourisme
-  Bernard Laporte : secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, chargé de la Jeunesse et des Sports (à compter de fin octobre 2007)

-  Martin Hirsch : haut commissaire auprès du Premier ministre, aux Solidarités actives contre la pauvreté

Remaniement du 18 Mars 2008 : Douze ministres et secrétaires d'Etat voient leurs attributions modifiées. Six nouveaux secrétaires d'Etat entrent au gouvernement..

- Yves Jégo  secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, remplaceant Christian Estrosi.
- Nadine Morano  nouveau secrétariat d'Etat à la Famille.
- Anne-Marie Idrac secrétaire d'Etat chargée du commerce extérieur.
-  Alain Marleix,  change de fonction et devient secrétaire d'Etat à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales.(av secrétaire d'Etat aux Anciens combattants)
-
Hubert Falco,  secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire.
- Luc Chatel, se voit attribuer, en plus de sa fonction de secrétaire d'Etat à la Consommation, celle de porte-parole du gouvernement.
- Le porte-parole sortant, Laurent Wauquiez, devient secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi.
- Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la Prospective et de l'évaluation des politiques publiques, sera également responsable de l'économie numérique.
- Christian Blanc: secrétaire d'Etat chargé du développement de la région capitale.
- Alain Joyandet,  secrétaire d'Etat chargé de la coopération et de la francophonie
Le portefeuille du secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte est complété.  chargé de la Jeunesse et de la Vie associative

Premier ministre Portail du gouvernement français
http://www.premier-ministre.gouv.fr

- Le Gouvernement en images (Le Figaro)

- Le gouvernement Fillon (portfolio du Monde)
 

Qu’est-ce qu’un ministre d’État ?
En France, le titre de «ministre d’État» est un titre purement honorifique, destiné à une personnalité politique un peu à part. En général, il est utilisé pour marquer de manière significative la prééminence de celui qui le porte au sein du gouvernement, placé protocolairement aussitôt après le premier ministre et avant les autres ministres. Le titre peut être donné à plusieurs comme à aucun ministre et quel que soit le ministère occupé.
La seule prérogative d'un ministre d'État est de pouvoir organiser des réunions interministérielles, normalement apanage du premier ministre.
Exemples de ministres d’État de la Ve République:  Nicolas Sarkozy, Édouard Balladur, Valéry Giscard d’Estaing, Gaston Deferre, André Malraux.

Qu’est-ce qu’un ministre délégué ?
Titre créé en 1956 par Guy Mollet (Houphouët-Boigny, « ministre délégué à la présidence du Conseil »). Il permettait de donner la qualité de ministre à une personnalité, sans la nommer « ministre d'État », ce qui la mettait au-dessus des autres ministres. Cette pratique s'est développée sans que la distinction avec la fonction de secrétaire d'État soit toujours très nette.

Qu’est-ce qu’un secrétaire d’Etat ?
Sous l’Ancien Régime, les secrétaires d’Etat étaient des officiers de la Couronne au rôle équivalent à celui des ministres actuels. Aujourd’hui, ils sont au dernier échelon de la hiérarchie ministérielle. Ils peuvent être soit directement placés sous l’égide du premier ministre, soit d’un ministre.
Les secrétaires d’Etat ne siègent au Conseil des ministres que lorsqu’un point de l’ordre du jour ressort de leurs attributions.


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Le gouvernement détient au terme de l'article 37 de la Constitution de 1958
le pouvoir réglementaire
. Il s'exerce à travers 4 types d'actes différents :
les décrets, les arrêtés, les ordonnances et les circulaires.

un décret :
c’est une décision écrite prise
  *soit par le Président de la République,   *soit par le Premier Ministre.
Ces décisions n’interviennent pas dans le domaine de la loi qui est défini par l’article 34 de la Constitution. Les décrets ou règlements autonomes relèvent de l'article 37 de la Constitution. Ils ne peuvent être contraires aux lois.
Les décrets ou règlements d'application ou d'exécution (art 21 de la Constitution), eux, sont des textes d'application des lois votées par le Parlement. Ils se bornent à préciser les modalités d'application d'une loi.

une ordonnance
:

c’est un texte, émanant de l’exécutif , qui par opposition au décret, intervient dans le domaine de la loi en fonction d’une délégation donnée pour un durée limitée et sur des sujets qui sont donnés par l’Assemblée Nationale. C'est l'article 38 de la Constitution.
Ces ordonnances sont ratifiées par le Parlement
Ex : ordonnances sur les privatisations en 1986 ou sur l'annualisation du temps de travail et en 1982

un arrêté
:

c’est une décision écrite prise
* soit par un ministre (Arrêté ministériel)
* soit par un préfet (Arrêté préfectoral)
* par un président de région ou un président de conseil général ( Arrêté décentralisé)
* par un maire (Arrêté municipal)  

une circulaire
:

c’est une décision prise par un ministre qui sert à expliquer le sens d’un arrêté ou d’un décret. Elle n’a aucune force obligatoire.

                                  Le discours de politique générale

C'est un exercice obligé pour tout nouveau Premier ministre, en vertu de l'article 49-1 de la Constitution: moment-clé de la législature, la déclaration de politique générale permet à l'hôte de Matignon de détailler ses projets et leur calendrier en posant la question de confiance.
Depuis le début de la Ve République, les Premiers ministres ont engagé leur responsabilité une trentaine de fois devant l'Assemblée au titre de l'article 49-1 de la Constitution sur leur discours de politique générale ou sur une réforme spécifique (la réforme de la "Sécu" pour Alain Juppé en 1995, par exemple). C'est le socialiste Pierre Mauroy (1981-84) qui détient le record avec cinq grands oraux, suivi par Jacques Chirac, qui a prononcé quatre discours de politique générale en deux passages à Matignon (1974-76 et 1986-88).
Passage obligé, le discours de politique générale est aussi un exercice de style où chaque homme imprime sa "griffe". Le 8 juin 2005, Dominique de Villepin avait présenté un "plan d'urgence" pour "gagner la bataille de l'emploi" dans un discours volontariste, dix jours après le "non" à la Constitution européenne.
Le 3 juillet 2002, les députés découvrent le style Jean-Pierre Raffarin. Inconnu du grand public, il y prononce son célèbre "notre route est droite, mais la pente est forte" et en appelle à "un nouvel humanisme". Un discours d'une heure et vingt minutes qui avait donné lieu à un incident lorsqu'un homme avait tenté de l'approcher dans l'hémicycle pour lui tendre une coupe.
Avant lui, Jacques Chaban-Delmas (1969-72) avait fait date en brossant dans son discours de politique générale du 16 septembre 1969 les contours d'une "nouvelle société". On se souvient aussi de Lionel Jospin qui, bombardé à Matignon après la dissolution, s'était engagé le 19 juin 1997 à conclure un "pacte républicain", "de développement et de solidarité" avec les Français. Il avait annoncé la mise en route des 35 heures et la parité en politique.
Le 22 mai 1991, Edith Cresson, première femme Premier ministre, s'était fait chahuter. Enfin, il arrive que la confiance soit votée de justesse. Le 9 avril 1986, le discours de politique générale de Jacques Chirac n'avait été approuvé qu'avec sept voix d'avance...
AP Source :.news.yahoo.com/