Actualités
Institutions
Nouveautés du site
RESSOURCES
Programmes
Documents d'accompagnements
Textes fondateurs
Institutions
Imagerie
Symboles de la République
Evènements -
mémoires
Actualités
Relations Internationales
Europe
SITES
UTILES
Ressources média
Ressources documentaires
Sites institutionnels
Sites académiques
Sites associatifs
SEQUENCES
Thèmes de réflexion
Expériences pédagogiques
Aide
méthodologique
Dossiers
!
Insolite
!
Archives
Site ECJS
Accueil
UE : les procédures de ratification du Traité constitutionnel
Spécial raz-de-marée
en Asie
(26
décembre 2004)
Actualités
Relations Internationales
Site St Louis Ste Marie |
|
|
Marianne
pour le grand emprunt |
IDENTITE NATIONALE |
CRISE
INTERNATIONALE |
Échec à
Copenhague 2009
Après la fin de la conférence de Copenhague, le ministre britannique
de l'Environnement, Ed Miliband, accuse ouvertement la Chine d'avoir
entraîné l'échec des négociations en vue d'un nouvel accord
contraignant de réduction des gaz à effet de serre (GES) supposé
entrer en vigueur le 1er janvier 2013. La Chine défend pour sa part
son « droit au développement ».
La conférence s'est soldée par une déclaration politique non
contraignante de cinq pays - États-Unis, Chine, Inde, Brésil, Afrique
du Sud -, qui soulignent leur volonté de faire en sorte que
l'augmentation de la température moyenne de la planète se limite à
2 degrés Celsius par rapport au début de l'ère industrielle, soit le
milieu du 19e siècle.
Les 193 pays membres de la Convention-cadre des Nations unies n'ont
cependant jamais réussi à s'entendre sur des cibles précises de
réduction des GES, ni sur une seconde phase d'engagement du protocole
de Kyoto, au grand dam des environnementalistes.
« Nous n'avons pas obtenu d'entente sur une réduction de 50 % des
émissions mondiales d'ici 2050 et une réduction de 80 % de la part des
pays industrialisés », conclut M. Miliband dans une lettre publiée
lundi par le quotidien britannique The Guardian. « La Chine a
opposé son veto aux deux ententes, malgré le soutien d'une coalition
de pays industrialisés et de pays en voie de développement. »
Des membres du cabinet de M. Miliband ont précisé au Guardian
que le Soudan, la Bolivie et d'autres pays d'Amérique latine
représentés par des gouvernements de gauche, dont le Venezuela, sont
aussi visés par ces critiques.
Le ministre Miliband soutient que la formule préconisée pour ces
négociations doit être modifiée. « Les deux dernières semaines ont
offert un spectacle comique au public. Nous ne pouvons permettre une
fois de plus que des négociations sur des points substantiels soient
prises en otage de la sorte », dit le ministre. Ed Miliband soutient
que la Convention-cadre des Nations unies sur le climat, qui encadre
ces pourparlers, doit faire l'objet d'une réforme.
Sans directement montrer du doigt l'Empire du Milieu, le premier
ministre britannique Gordon Brown a abondé dans le même sens. « Nous
ne devrions jamais plus nous retrouver dans l'impasse qui a failli
faire écrouler les négociations. Nous ne devrions jamais laisser un
accord global en vue d'un futur plus vert devenir otage de quelques
pays », a déclaré le premier ministre.
Pékin retourne la politesse
La Chine, qui disait avant même la fin de la conférence que les
pays industrialisés cherchaient à lui faire porter l'odieux de
l'échec, dément avoir quoi que ce soit à se reprocher. « Ce résultat
d'un rude labeur de l'ensemble des parties a été accepté par tous, n'a
pas été facile à obtenir et doit être précieusement protégé », indique
le premier ministre chinois Wen Jiabao dans un communiqué. Pékin,
précise-t-il, va poursuivre les travaux sur « l'accord de
Copenhague ».
Un responsable du ministère des Affaires étrangères cité par le
Quotidien du Peuple, Yi Xianliang, soutient que le « débat
diplomatique et politique qui s'ouvre sur le changement climatique
sera axé sur le droit au développement et à l'espace disponible pour
cela ».
M. Yi souligne que les pays industrialisés n'ont pas précisé leurs
engagements financiers envers les pays pauvres. Le document adopté par
les États-Unis et la Chine stipule que les pays industrialisés devront
mobiliser 100 milliards de dollars pour aider les pays en voie de
développement à combattre les changements climatiques, et ce, d'ici
2020.
« À cause de la crise financière internationale et d'autres facteurs,
les pays développés sont revenus sur leurs positions puis ont tenté de
rejeter la responsabilité d'un échec sur les pays en développement, en
particulier les grandes puissances émergentes », a déclaré M. Yi,
selon ce que rapporte l'agence Reuters.
La Chine a été critiquée lors de ce sommet, notamment par les
États-Unis, pour avoir refusé d'accepter un mécanisme de surveillance
de ses émissions de GES. Pékin dit qu'elle soumettra ses propres
données à ce sujet.
Le premier ministre danois Lars Loekke Rasmussen, qui a assumé la
présidence de la conférence dans la dernière ligne droite, soutient
qu'« un accord est mieux que rien », bien qu'il admette qu'il aurait
été « plus fort s'il avait été adopté en plénière ».
Dans une entrevue accordée à la chaîne danoise TV2, M. Rasmussen a
soutenu que « sans l'intervention des chefs d'État, il n'y aurait pas
eu d'accord ». « Lorsque les dirigeants sont arrivés, il n'y avait
même pas un accord-cadre à discuter et on a eu 24 heures, un temps
trop court, pour faire un texte qui aurait dû être négocié pendant les
deux semaines de la conférence ».
Source : Radio-Canada.ca avec Agence France Presse et Reuters
Ressources média
:Émissions
de télévision; Quotidiens nationaux, régionaux et départementaux;
Hebdomadaires et mensuels nationaux d'actualité; Radios
nationales; ...
Toutes
les
Unes
de la Presse Mondiale
|
Répression
chinoise au Tibet
Le Tibet, occupé par la Chine depuis octobre 1950,
a connu de nombreux soulèvements,. Les manifestations, bien que
violemment réprimées par l'armée d'occupation, n'ont jamais vraiment
cessé. En mars 1959, cette répression fait des milliers de morts et
provoque la fuite du dalaï-lama à Dharamsala, en Inde, où il établit
un gouvernement en exil.
Aujourd'hui, à quelques mois de l'ouverture des Jeux olympiques de
Pékin, des manifestations marquant le 49e anniversaire du soulèvement
de 1949 ont dégénéré en émeutes à Lhassa et gagnent les communautés
tibétaines installées dans les provinces voisines. Face à la
répression chinoise, la question du boycott des Jeux olympiques se
pose au monde entier.
Dessin de Hachfeld paru dans Neues Deutschland
DOSSIER SPECIAL
:
Entre
la Chine et le Tibet |
|
|
Dossier
RFI
: Liban |
.
BANLIEUES :
Violences urbaines, Intégration, Immigration, Modèle
d'intégration
à la française
|
Sidaction |
LUTTE CONTRE LE SIDA
en collectant des fonds pour financer la recherche, ainsi que
des programmes de prévention et de soutien aux personnes
atteintes par l’infection à VIH et à leurs proches.
Sidaction est un acteur central et un levier de la lutte contre le VIH/Sida.
Grâce à son expertise, à son lien permanent avec le terrain, à son
exigence d’efficacité et à sa rigueur dans la gestion des programmes,
Sidaction a été reconnue d’utilité publique en 1998.
Sidaction soutient des actions en France et dans 28 pays en
développement. |
|
La Journée mondiale de l'eau
Mardi 22 Mars 2005
Les Nations Unies lancent mardi la Journée
mondiale de l'eau, enjeu vital pour 2,4 milliards
d'individus sur Terre
Le souhait de l'ONU, est de
diviser par deux d'ici à 2015 le nombre de personnes qui
n'ont pas accès à l'eau potable et à l'assainissement.
Chaque jour, 22.000 personnes meurent en raison de
maladies véhiculées par l'eau polluée (Typhoïde, choléra,
paludisme, diarrhées), première cause de mortalité dans le
monde devant la malnutrition.
2,4 milliards d'individus ne disposent d'aucun
assainissement (toilettes, égouts), tandis que 1,1
milliard d'hommes n'ont même pas accès à l'eau potable.
Voilà cinq ans que la communauté internationale a pris
l'engagement de réduire par deux d'ici 2015 la proportion
de personnes privées d'eau potable (Sommet du Millénaire,
2000).
Au Sommet de la Terre de 2003, cet engagement a même
été étendu aux populations sans assainissement, mais sans
prévoir les financements correspondants.
L'aide stagne. Selon l'OCDE, l'aide publique à l'eau a
fondu de 2,7 milliards de dollars en 1997 à 1,4
milliard en 2002. Elle s'est stabilisée depuis, mais reste
loin des enjeux.
Les ONG (organisations non gouvernementales) comme Attac
prônent une taxe mondiale, susceptible d'assurer le
financement du développement.
Un tout petit pas dans cette direction a été fait en
France avec l'adoption en janvier d'une loi autorisant les
collectivités locales, syndicats et agences de l'eau
à affecter jusqu'à 1% des redevances sur l'eau à l'aide au
développement.
Depuis 15 ans, les sommes affectées par l'Agence
Seine-Normandie au développement ont par exemple permis de
fournir l'eau potable à un million de personnes. |
|
|
Un milliard d'enfants privés de leur enfance, selon l'UNICEF
Le
Protocole de
Kyoto:
entre en
vigueur le 16 février 2005
|
|